Les francais, les médias et les journalistes. La confiance saigne...
par"Il n’y a plus de poisson d’avril dans mon quotidien régional.
La coutume pourrait bien s’être éteinte parce que son caractère de blague a pris du plomb dans la nageoire.
Pour qu’un poisson d’avril marche et soit cru, il faut que le lecteur n’ait aucun doute sur la compétence, la rigueur et l’éthique du média diffuseur.
Pour que le farcé en rie après coup avec le farceur, il faut qu’un climat particulier les unisse, qu’une sorte de pacte les lie, consciemment ou inconsciemment : bref, qu’un contrat de confiance soit en vigueur entre eux..."