« A l’heure où il serait à la fois indécent et redondant de revenir sur les mutations des métiers et du secteur économique de la presse, une réflexion sur les réseaux sociaux impose des interrogations sur les répercussions concrètes dans le travail quotidien des journalistes, mais aussi une mise en cause d’implicites qui n’étaient sans doute plus assez interrogés, un questionnement sur les aspects éthiques et déontologiques, sur les relations renouvelées et jamais plus figées entre le journaliste et ses sources, son public, ses partenaires, son média lui-même. »